Dimanche à l'arrêt. Coeur de ville. Otage de météo et consorts. Chez soi. Jeu de dames, jeu pluriel. Je de société et jeu de famille. Balbutier de nouveaux rituels. Cartes sur table. Relire Agatha. Vibrer sur Bach. Bloguer tout court. Un peu de tout. Qui pleut le plus, peut le moins, dirait Mac Mahon revisité. Le souffle est court. Et oui, on n'y peut rien. C'est l'air du temps.
4 commentaires:
"Le blues de Bil"
Ne m'en parle pas, je baigne dans la même flaque, les carreaux embués, le brouillard descendant, de quoi boire la tasse...petit plus les champignons: quelques bolets et chanterelles...la muse à corne n'y fera rien. Je veux de la lumière bordel et pas que des frites ( cf Dutronc fils)
Le lundi au soleil...
même la semaine n'est pas top:encore un coup d'Edwige!!!
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