Faut pas rêver, disent-ils pour nommer l'émission.... Faut plus rêver. Vu hier soir le Laos entré lui aussi dans sa mondialisation. Que de voitures, de béton, de touristes, de déforestation, d'huile de palme, et même de musique hip hop... dans un capharnaüm urbain qui range le bonze au rayon de la bête de cirque. Ô Tempora Ô Mores. Jamais bon de confronter ses images de vingt ans avec celles d'aujourd'hui. Qu'en penses-tu grand mère ?
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samedi 10 juillet 2010
Paradis perdu
Faut pas rêver, disent-ils pour nommer l'émission.... Faut plus rêver. Vu hier soir le Laos entré lui aussi dans sa mondialisation. Que de voitures, de béton, de touristes, de déforestation, d'huile de palme, et même de musique hip hop... dans un capharnaüm urbain qui range le bonze au rayon de la bête de cirque. Ô Tempora Ô Mores. Jamais bon de confronter ses images de vingt ans avec celles d'aujourd'hui. Qu'en penses-tu grand mère ?
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4 commentaires:
Bahhhhh !!!
on est toujours le futur passé de quelqu'un !
demain est un autre jour... toujours
Ni dieu ni maître ni regret ni hasard...
Ouais, on voit que tu n'as pas connu le Laos d'il y a vingt ans... pour en parler aussi à l'aise, Patrick.
Et puis, il y a quelque chose de terrible dans le "plus jamais".
Enfin, pour les vieux sentimentaux.
Je confirme... je confirme, hélas.
La grand-mère n'est peut-être plus là pour le dire mais qu'en pensent les autochtones ????
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