Comme une invitation au rêve, au voyage méditatif, à une douce mélancolie... Comme dans un état de grâce où tout réussit à l'Elu, Anouar Brahem sait nous promener à sa guise dans son monde musical. Jamais les silences (chers à Miles!) n'ont aussi bien résonné, jamais les respirations de la clarinette au son de l'oud n'ont aussi bien chanté. Comme une évidente maturité, dans une réunion cosmopolite, cet album sans prétention, ode au poète palestinien disparu, Mahmoud Darwich est une des valeurs sûres du moment. N'hésitez pas !
Quelques extraits ici!
Anouar Brahem oud
Klaus Gesing bass clarinet
Björn Meyer bass
Khaled Yassine darbouka, bendir
5 commentaires:
Oh oui, je l'ai découvert et laissé écouter la semaine dernière, magnifique (la photo aussi). Il y a toutefois une grande et réelle prétention à rechercher cette beauté-là, même si l'impression reste d'humilité - et grand bien pour nous, parce qu'elle est atteinte.
Je vais écouter ça !
Et Fouad Elkoury, photographe libanais, a écrit des choses très belles sur la photographie.
je n'ai pas hésité, la grâce est le mot juste et je cherche le regard de cette femmme.
oui.le pas du chat noir aussi..
J'adore A. Brahem...chouette!
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