mercredi 9 décembre 2009

Etre ou ne pas être dans le vent

Dans l'Yonne républicaine. Pour traverser régulièrement ses grands plateaux, je peux témoigner de la force des courants d'air. Comment vendre du vent ? Tout un art sans doute.
Et puis d'abord qui en veut chez lui ? Sous sa fenêtre ? Dans son champ ? Zen pensez quoi ?
Le Murche club lance le débat.



Fenêtre ouverte, par ici !


Qui sème le vent court après son chapeau. Professeur Choron

11 commentaires:

Coucouville les Nuées a dit…

Le vent? Je suis pour!

K. a dit…

brasser de l'air...encore une invention des écolos...

Fils du vent a dit…

Mais oui ! Ventiler les campagnes et les villes. Suis pour aussi.

Olga Theuriet a dit…

Pareil, je suis pour. C'est un point de vue totalement altruiste parce que le vent, je n'aime pas ça. Sauf peut-être exception tropicale à laquelle je n'ai pas l'accès facile.

Cat a dit…

C''est dans l'air !

Nicolas a dit…

L'air de rien, ça n'a pas l'air de gazer dans l'Yonne. 3 contre, 1 pour.
Une proposition: Enterrons les éoliennes, comme ça, sûr qu'elles ne défigureront pas le paysage.
Moins efficaces alors ?
Certes...

robedelune a dit…

suis comme Melle Chiffon, à part sous les tropiques, j'aime pas...mais pas du tout le vent!!!

CA a dit…

Moi ce n'est pas le vent que je n'aime pas, ce sont ces poteaux hideux avec de grandes hélices qui défigurent nos beaux paysages de France ! Pffh. Sous prétexte qu'il fait plus chaud il faudrait des ventilo géants ?

PS a dit…

0 degré ce matin... Je vois pas où il est leur réchauffement.

Olga Theuriet a dit…

Enfin les questions esthétiques que je n'osais pas aborder la première. Je trouve que c'est très beau. En mouvement ou pas, seule ou en groupe, c'est un objet hors du temps. Pas facile de ne pas tomber dans le convenu de la fragilité et de la puissance... de la grandeur et finesse à la fois, ce genre de choses. L'éolienne pour cela m'échappe.

Bil a dit…

C'est vrai que j'aurais préféré un sommet de Copenhague à Bamako en plein été... Histoire de les voir transpirer un peu plus.
Les journalistes emmitouflés en direct de la conférence pour un point presse sur le réchauffement perdent un peu de crédibilité auprès du quidam téléspectateur qui plus est, a d'autres soucis en ce moment... Hopla.