vendredi 25 septembre 2009

Tif et Tondu

En ce début d'automne bourguignon et brumeux, je vous propose d'aller à la pêche aux enseignes en tout genre. Des plus grotesques... si possible drôles, aux plus spirituelles... Celles qui permettent de se poser les (bonnes) questions, de se demander en toute simplicité : "Mais bon sang, pourquoi en suis-je arrivé là ?" Et donc de phosphorer, un brin philosophe, sur le sens de la vie... Ce n'est pas rien quand même. Hum, dans ce domaine, je ne sais pas pourquoi, on retrouve souvent en tête du hit-parade, les garçons coiffeurs... Assurément les plus doués en la matière et pas uniquement pour couper les cheveux en quatre, vous ne trouvez pas ?
Ok, ok... les oreilles fraichement dégagées depuis hier, je suis peut être sous influence, donc pas de conclusion hâtive, le concours est ouvert, et je suis bien entendu prêt à relayer vos propres trouvailles ou à lancer le débat.
Hum, à noter qu'en prime ici, on a un site web ! Petit bijou maouss costaud de cadeau pour toi, mon ami. Non, non ne me remercie pas. Qui a dit que "c'est un peu tiré par les cheveux ce truc "? Mais non, c'est tout bon... Allez, sans rancune, on se tient au courant.

6 commentaires:

Olga Theuriet a dit…

Les cafetiers ne sont pas en reste ("l'antre pots" rebaptisé "antre II mondes") non plus que les fleuristes ("vert tiges", "à fleur de pot").

K. a dit…

OK alors concourons un peu là :
http://elle-carnetsdevie.blogspot.com/2009/07/coup-de-balai.html

Anaïs a dit…

Mais non, mais non, t'inquiètes pas, je lâche absolument pas, je cherche juste mon rythme de croisière! D'ailleurs j'ai avancé... bisous

Olga Theuriet a dit…

http://rosechiffon.blogspot.com/2009/05/aux-chiottes-larbitre.html
Si je puis me permettre d'inviter votre lectorat à aller jeter un oeil sur une des images de ce post.
Sans vouloir ramener la couverture à moi.

(les chéchés) a dit…

ah oui, dijon recelle de jeux de mots délicieux... (les garçons coiffeurs de chien ne sont souvent pas en reste)

Olga Theuriet a dit…

C'est vrai il y a notamment la maison "Dog, j'adore" (à se demander comment cela est possible) et le très branché salon "Cleb'art" qui sous des dehors classiques cache une clientèle des plus décalées, caniches essentiellement.