dimanche 21 septembre 2008

Marriott Hotel

Comme une incursion dans l'aktu. Détestable, dramatique. Incursion, précisément avant le vote de nos parlementaires sur la présence de troupes françaises en Afghanistan. La question pourra ainsi être posée à la lumière de l'explosion qui a ravagé THE Hôtel de la capitale. Celui-là même que nous fréquentions lorsqu'il s'agissait d'oublier barbus, poussières et misère du quotidien pakistanais. L'effet rétroactif est bouleversant. S'il s'agissait de mettre à terre le coin d'occident de la ville, c'est apparemment réussi. Les notables de la ville iront désormais fêter la rupture du jeûne chez eux et la communauté internationale peut à nouveau préparer ses bagages... La diplomatie au ban. Une fois de plus, le Pakistan fait l'actu quelques heures après le discours de son nouveau président; le veuf Asif Ali Zardari que nous avions connu emprisonné pour corruption et qui, miracle de la démocratie réclamé par l'ouest, est aux commandes pour mettre fin au "cancer du monde". Larmes et sang. Le chemin s'annonce encore long. Le Monde dans le texte et en images

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Sorti de sa combe... Pas de doute.

Unknown a dit…

Sadness

Anonyme a dit…

J'ai le fils d'un pot de Casa qui doit partir là et je me dis encore pourquoi le "chevalier blanc" se prend encore pour Zorro?. Le serpent se mord la queue et l'expérience des peuples n'est qu'une ivresse sans lendemain...

Bil Murche a dit…

Certes... Mais dans l'impasse générale, les œillères de l'indifférence ne peuvent être une meilleure voie.

Anonyme a dit…

menottes au poing pour 4 ans et blanc seing international: mieux que la visa premier...