A la frontière pak-afghane. Arrêt sur image. Le lycée franco-afghan en 2000, à Peshawar, avant son retour à la ville mère, Kaboul. Barña prof de maths et marchand de timbres le dimanche, croqué par Christian Heinrich dans son carnet de voyages, donne ses cours. Barña francophone et phile comme personne. Huit ans après, ne restent que les souvenirs. Ou presque. Espoirs au placard. Aujourd'hui, plus qu'hier peut être, la lutte est à nouveau acharnée sur place. Les "étudiants" et le pavot ont pu retrouver toute leur place sur la friche afghane.
L'envoi de troupes supplémentaires n'est pas anodin. Pas de raccourci irakien dans les débats. SVP.
N'oublions pas Barña et ses lycéens.
L'envoi de troupes supplémentaires n'est pas anodin. Pas de raccourci irakien dans les débats. SVP.
N'oublions pas Barña et ses lycéens.
1 commentaire:
Je dois dire que j'ai un peu de mal à comprendre le positionnement français actuel sur cette partie du monde:on sait que de tout temps, le principe d'occupation exacerbe les haines et renforce les positions radicales.
Cette tranche de vie dont tu parles et qui nous touche met en avant toutes ces souffrances anonymes qui constitue les plaies difficiles à cicatriser et les mémoires acides d'un peuple.
France que ne penses tu plus à ton passé!
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