Nous parlerons photo, nous en ferons ensemble...Un bon air de jazz, une vieille guimbarde pour tracer la route dans le sable et la poussière. Tu boiras du café, moi du thé. Les enfants du bord des routes nous apporteront des oranges percées pour nous désaltérer. De loin en loin, dans les marchés des villages traversés, nous nous réjouirons des quelques vautours crasseux et mal en point picorant les restes, ça nous changera des pigeons européens.
Les femmes nous souriront. Nous sourirons aux femmes en prenant garde de ne pas trop longtemps s'arrêter en chemin.
Et la route nous reprendra.
Le pays dogon me rappelle de beaux souvenirs. Moto, bus, taxi-brousse. Quasi-châteaux, ocre, chaleur et fierté. Le tout sans photo, sans aucune trace aujourd'hui, seules les invisibles demeurent, enfouies quelque part en moi.
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Nous parlerons photo, nous en ferons ensemble...Un bon air de jazz, une vieille guimbarde pour tracer la route dans le sable et la poussière.
Tu boiras du café, moi du thé.
Les enfants du bord des routes nous apporteront des oranges percées pour nous désaltérer.
De loin en loin, dans les marchés des villages traversés, nous nous réjouirons des quelques vautours crasseux et mal en point picorant les restes, ça nous changera des pigeons européens.
Les femmes nous souriront. Nous sourirons aux femmes en prenant garde de ne pas trop longtemps s'arrêter en chemin.
Et la route nous reprendra.
Le pays dogon me rappelle de beaux souvenirs. Moto, bus, taxi-brousse. Quasi-châteaux, ocre, chaleur et fierté.
Le tout sans photo, sans aucune trace aujourd'hui, seules les invisibles demeurent, enfouies quelque part en moi.
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